Catégories : Chasteté ceinture chasteté hom fem
il y a 2 ans
La cage de chasteté judiciaire a été créé pour faire face aux problèmes de surpopulation dans les prisons. Elle n’est pas un simple jouet BDSM, c’est un modèle spécialement étudié pour les délinquants sexuels, c’est ce que va découvrir André accusé à tord de harcèlement sexuel.
Maître nageur, André est un très bel homme âgé de 28 ans. Les filles craquent pour lui, ses yeux charmeurs et son corps de sportif de haut niveau les font fondre. Les conquêtes d’un soir, il ne les compte plus, bien que le mot conquête ne soit pas tout à fait adapté, car ce sont les filles qui le draguent plus que l’inverse. Il ne souhaite pas s’attacher et se mettre en couple, même si il apprécierait de se poser un peu. Lydia est entrée dans sa vie, elle lui a fait tourner la tête comme on dit, par chance, elle est libertine et ne s’offusque pas trop de ses aventures multiples. Leur vie à deux se déroule réellement pendant les week-ends et les vacances que la semaine où chacun suit son chemin.
Une autre fille entre dans la vie d’André, un cas social certes, mais d’une beauté à vous couper le souffle. L’expression « soit belle et tait-toi » correspond bien à ce profil de femme. A la piscine où elle s’est abonnée, Elodie ne le lâche plus, elle veut cet homme coûte que coûte. Sa jalousie est telle qu’Elodie est ce que l’on appelle une détraquée affective capable de tout pour virer ses rivales. C’est ce qu’André découvre un jour où elle était convoquée à Pole Emploi. Une des mères de famille venant à la piscine pour apprendre à nager à ses e n fa n t s, s’ouvre à lui en lui expliquant ce que raconte Elodie puis ce qu’elle fait dans les vestiaires aux filles qui se sont trop approchées de lui.
André se doutait un peu de ce que cette mère de famille lui a raconté mais pas à ce point là. Il savait Elodie jalouse, mais de là à faire courir des bruits en parlant de SIDA..... Pour en avoir le coeur net, il demande à sa demi-soeur de jouer la drague pour la piéger et voir si ce qui se raconte est vrai.
« Méfie toi, ce beau mec est un pervers malade et dangereux, s’il peut te bloquer dans les vestiaires, tu passeras à la casserole. Surtout prend des préservatifs car il a le sida » a indiqué Elodie à la belle soeur d’André. Comme on peut s’en douter, il n’a pas apprécié et a viré ce cas social avec pertes et fracas.
Quelques jours plus tard, il découvre un papier de la gendarmerie dans sa boite à lettre. Le papier indiquait : Merci de nous contacter pour prendre rendez-vous au sujet d’une affaire vous concernant avec un nom de gendarme et un numéro de téléphone. Il contacte donc le gendarme par téléphone et essaye d’en savoir plus mais en vain, il lui répond « nous en parlerons quand vous viendrez ».
André se présente donc le lendemain à la gendarmerie où il se retrouve dans un bureau avec deux gendarmes. Son audition commence avec son identité puis des questions sur sa vie privée.
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Connaissez-vous une certaine Elodie ?
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Oui j’en connais une qui vient à la piscine.
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C’est bien de cette Elodie dont nous parlons. Avez-vous eu des rapports sexuels avec elle ?
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Oui, deux fois. Mais quel est le problème ?
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C’est moi qui pose les questions. Ces rapports sexuels se sont déroulés où ?
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A la piscine le soir dans les vestiaires une fois que le public est parti.
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Etait-elle consentante ?
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Absolument !
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Ce n’est pas ce qu’elle raconte dans sa plainte !
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Vous rigolez j’espère ?
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Ai-je l’air de rigoler ?
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Je vous jure qu’elle était consentante, d’ailleurs elle me colle aux basques chaque fois qu’elle vient.
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Vous dites donc que vous avez eu deux rapports sexuels avec elle ?
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Oui, je confirme.
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Ce n’est pas ce qu’elle déclare. Elle ne parle que d’un seul non consenti, un acte ignoble réalisé sous la menace et la contrainte physique.
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C’est absolument faux, je le jure !
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On a l’habitude des gens qui jurent.... L’avez-vous agressée mercredi soir pour l’obliger à se taire ?
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NON ! Elle raconte des conneries sur moi, je l’ai envoyée bouler et c’est tout.
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Sur la vidéo de télésurveillance qui est devant la piscine on vous voit clairement la repousser et la plaquer contre un mur puis vous énerver sur elle.
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Comme je vous ai dit, elle raconte des conneries sur moi, puis que j’ai le SIDA, alors j’ai mis les choses au clair en lui disant que je ne voulais plus la voir.
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Vous avez de drôles de façon de mettre les choses au clair. A partir de maintenant, je vous place en garde à vue. Je vais vous lire vos droits et vous demander de me donner vos effets personnel puis de retirer vos lacets.
André est fou de rage ! Les deux gendarmes lui demandent de se calmer et semblent même très méfiants. Son calvaire ne fait que commencer.
Après une nuit en cellule, l’audition reprend, il ne change rien à ses déclarations, le prélèvement de son ADN est effectué, les photos judiciaires sont prises avant qu’il soit reconduit en cellule. André demande alors à avoir un avocat car il sent bien que cette affaire prend une tournure grave.
Le procureur décide de prolonger sa garde et de poursuivre les investigations suite aux témoignages recueillis. Il a été vue avec des jeunes filles dans l’eau à la piscine avec la main sous leur ventre. André se défendra au tribunal de ses basses accusations, la main sous le ventre des gens qui apprennent à nager, c’est pour les empêcher de couler et pas autre chose. Son métier l’impose tout simplement. Il rajoute « en plus c’est en public devant des mamans, franchement si j’étais un v i o l e u r, ce n’est pas l’endroit idéal pour être discret ».
- Effectivement, vous préférez le soir dans les vestiaires comme vous l’avez indiqué lors de votre audition ! Crie l’avocat général en l’entendant se défendre.
Il a beau crier son innocence avec l’aide de son avocat plaidant l’absence de preuves tangibles, André est condamné pour agression sexuelle. Ils font évidement appel de cette décision de justice inacceptable. Le lendemain, il est conduit devant le juge des libertés qui lui laisse deux choix : le placement en détention ou la pose d’un bracelet électronique puis d’une cage de chasteté judiciaire.
S’il sait ce qu’est un bracelet électronique, André n’a jamais entendu parler de cage de chasteté judiciaire mais il accepte sa proposition, c’est toujours mieux que la prison. Conduit dans une salle dédiée aux examens médicaux d’urgence par deux policiers, on lui demande de se dévêtir et d’attendre. Un médecin assermenté entre avec une boite dans les mains. Il enfile des gants, mesure la racine de son sexe, choisit un anneau puis lui pose la cage de chasteté sur le sexe d’André très gêné. Les clés sont mises sous scellé et remises à un huissier. Un des policiers lui pose le bracelet électronique, des documents lui sont remis pour lui rappeler ses obligations puis ce qu’il doit faire en terme d’hygiène avec sa cage de chasteté.
C’est un homme laminé qui sort du tribunal. A peine arrivé chez lui, l’enfer continue. Son employeur l’a licencié, les factures se sont additionnées. Il appelle sa famille atterrée qui le rejette puis Lydia en espérant qu’elle le soutiendra dans cette épreuve et le croira sur parole. Oui elle le croit innocent, mais cela l’a quand même perturbée. Lydia accepte toutefois de venir le voir après son travail, puisqu’il ne peut plus dormir ailleurs que chez lui sans faire des démarches préalables.
En découvrant l’état psychologique de son ami, Lydia est réellement convaincue qu’il est innocent. Il fond en larmes dans ses bras, c’est la première fois qu’il craque depuis le début de cette triste affaire. Particulièrement peinée de le voir ainsi, elle décide de dormir chez lui pour ne pas le laisser seul. Au milieu de la nuit, André a ce que l’on appelle, une érection nocturne. Si la cage de chasteté judiciaire résiste, ses testicules sont extrêmement étirés et lui font un mal de chien. Si bien qu’il est obligé d’aller prendre une douche froide pour parvenir à la faire passer. Lydia assiste à tout, le console, lui propose d’aller se renseigner pour savoir ce qu’il faut faire dans ces cas là. Hélas, à part s’habituer, il n’y a rien à faire.
Le problème d’André est que sa sexualité était riche, ne plus en avoir du tout devient vite un calvaire. Chaque fois qu’il voit Lydia, il a l’impression de devenir fou. Il trouve son parfum envoûtant et devient dingue d’amour pour celle qui l’accompagne dans cette rude épreuve. Lorsqu’elle met simplement sa tête contre son épaule la nuit, il a l’impression que son corps entier est en manque. Si son corps crie ses besoins, son cerveau aussi, André a besoin d‘étreintes, de câlins, de faire des bisous tout simplement.
Lydia accepte de le laisser lui faire l’amour autrement qu’avec son sexe en lui disant qu’il se fait du mal. Elle change d’avis rapidement à chaque fois, André n’a jamais été autant attentif à son plaisir. Il devient si attentionné avec elle, que leur relation évolue. Au départ, André n’était pour elle qu’un ami et « un bon plan cul », aujourd’hui elle le regarde autrement. Certes il ne la baise plus, et pour cause, mais il devient un véritable ange en tous points, une véritable perle. Une volonté de vivre en couple prend forme, ils s’installent donc dans un nouvel appartement. Il est pris sous son nom à elle puisqu’il n’a plus d’emploi et que trouver un appartement sans emploi, est loin d’être facile.
André devient totalement dépendant de Lydia pour l’argent, le logis, l’affection. Petit à petit elle devient sa reine. Un soir, après un gigantesque câlin, elle lui fait remarquer qu’il ne lui avait jamais fait l’amour aussi bien que depuis qu’il est sous cage de chasteté puis lui demande ce qu’il ressent physiquement dans ces moments là.
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C’est comme si nos corps fusionnaient. Dès que tu me caresses, tous mes sens sont en alerte et excités. Je vibre à travers toi et avec toi. Je t’aime puissance 10. Lui répond André.
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Mais cela ne te manque pas de me prendre ?
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Oh que oui, mais grâce à cette merde que j’ai entre les jambes, j’ai découvert que l’on pouvait avoir du plaisir autrement. C’est difficile à décrire et semble paradoxal dans le sens où c’est aussi très bon sans pénétration. Et toi, cela ne te manque pas trop ?
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Si un peu je l’avoue, mais tu sais si bien faire pour me donner du plaisir, que je suis tout sauf en manque. Lui répond Lydia en se jetant sur lui pour lui faire des bisous.
Ses petits bisous suivent un chemin sur le corps d’André qui se pâme de plaisir quand elle descend sur sa poitrine puis sur son ventre. Une idée nouvelle traverse l’esprit de Lydia qui poursuit sa descente câline jusqu’au sexe encagé de son chéri. Elle entreprend de câliner ses testicules puis de fouiner entre ses fesses à la recherche du petit orifice qu’elle titille.
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Qu’est-ce que tu fais ? Lui demande André.
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Laisse-toi faire, j’ai envie de te rendre dingue à mon tour.
Ultra excitée, Lydia a une lubrification naturelle généreuse. Elle en prélève sur ses doigts pour lubrifier le petit orifice d’André puis, en même temps qu’elle lutine ses précieuses, son doigt s’insère et part à la recherche de la prostate. André est très perturbé mais se laisse faire. Quelques minutes plus tard, il lui indique qu’il a envie d’aller faire pipi.
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Non, ce n’est pas du pipi, c’est du sperme mon chéri. Laisse-toi aller. répond Lydia
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Tu es sûre ?
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Oui, je prends le risque alors laisse-moi faire et tait-toi !
André est terriblement gêné par ce qu’elle lui fait, mais en même temps, c’est si bon qu’il finit par s’abandonner aux sensations nouvelles pour lui. Lydia poursuit ses caresses mais cette fois en prenant le tube de la cage de chasteté en bouche comme si elle faisait une fellation. Il geint, se tord de plaisir même, si maintenant, le doigt logé dans son anus devient très insistant. Son corps est pris de contractions, André pousse des gémissements plaintifs en se donnant totalement à sa reine. Il a l’impression de mourir de plaisir tant ce qu’il ressent est puissant.
-
Tu as beaucoup coulé mon amour, tu as même éjaculé et il avait très bon goût ! Lui indique Lydia en l’embrassant tendrement.
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C’était sublime ma chérie, oh que je t’aime !
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